Les ports sont des hubs stratégiques pour le commerce mondial. Mais derrière cette efficacité se cache un langage technique précis. Décryptons ensemble les termes portuaires les plus utilisés.
Les manœuvres de navires
- Accostage : amarrage d’un navire au quai.
- Appareiller : quitter le port.
- Pilote : officier qui guide un navire pour entrer ou sortir du port.
- Remorqueur : bateau qui aide les navires à manœuvrer.
Le vocabulaire des marchandises
- Conteneur : boîte métallique standardisée pour le transport.
- Manutention : opérations de chargement/déchargement.
- Break bulk : cargaison en vrac ou non conteneurisée.
- Terminal : zone spécialisée (conteneurs, vrac, hydrocarbures…).
Administration et logistique
- Manifeste : liste officielle de cargaison.
- Douane : contrôle des flux de marchandises.
- Hub portuaire : port servant de plateforme de redistribution.
Temps et coûts
- Escale : temps passé dans un port.
- Droits de port : taxes pour l’utilisation des infrastructures.
- Surestaries : frais pour dépassement du délai d’utilisation.
- Slot : créneau horaire attribué pour une opération.
Abréviations clés
- ETA (Estimated Time of Arrival) : heure estimée d’arrivée.
- ETD (Estimated Time of Departure) : heure estimée de départ.
- TEU (Twenty-foot Equivalent Unit) : unité standard de mesure pour les conteneurs.
- IMO (International Maritime Organization) : organisation régulant le transport maritime.
Pourquoi ce langage est essentiel
Dans un univers où chaque retard coûte des milliers de dollars, la précision du langage portuaire est la clé d’une logistique fluide et compétitive.
Et vous, quels mots portuaires utilisez-vous au quotidien ?
RDV au SIPORTS 2026, à la rencontre des ports du monde.